du Duncallipsy

du Duncallipsy Berger Australien

Berger Australien

L'AOC


L’Anomalie de l’Oeil du Colley (AOC)

Publié le vendredi 17 novembre 2006.

Comme son nom ne l’indique pas, l’AOC ne touche pas que le Colley, mais aussi les races apparentées, dont le Berger Australien.

- Description et effets :

Cette maladie héréditaire, pour laquelle il n’existe pas de traitement curatif, comporte en fait 4 types de lésions pas forcément toutes présentes selon le degré d’atteinte du chien, et dont les conséquences sur la vision sont très variables :

# L’hypoplasie/dysplasie de la Choroïde :

Cette lésion apparaît dès le 45ème jour de la gestation. Elle peut être décelée par examen ophtalmo chez le tout jeune chiot à partir de 5-7 semaines jusqu’à 2-3 mois. Ensuite il existe un risque en cas de lésion de taille très réduite, que le dépistage ophtalmologique réalisé à l’âge adulte soit faussé par la pigmentation du fond de l’oeil.

Cette anomalie seule n’entraîne pas de répercussion sur les capacités visuelles du chien.

Dysplasie de la Choroïde + Colobome

# Le Colobome papillaire ou justa-papillaire :

Le colobome se situe au niveau de la papille ou à sa périphérie. Sa taille peut varier, et c’est en fonction de celle ci que l’altération de la vision du chien atteint sera plus ou moins importante. Il s’associe à une Hypoplasie/dysplasie de la Choroïde au stade 2 de la maladie.

# Le décollement de la rétine (partiel ou total) :

Le décollement partiel ou total de la rétine est associé au colobome au stade 3 de l’affection. Des hémorragies intra-oculaires peuvent également survenir dans ce cas de figure.

Décollement de la rétine

# Les hémorragies intra-oculaires :

Comme indiqué précédemment, elles surviennent lors de la présence de colobome et de décollement de la rétine, mais pas de façon systématique. C’est le stade le plus sévère de l’atteinte par l’AOC. Elles peuvent conduire à la formation d’un glaucome dans certains cas de figure.

Les caractéristiques générales de l’AOC sont un amincissement anormal de la Choroïde, un manque de pigmentation de celle ci et une densité trop faible de vaisseaux choroïdiens qui peuvent être de plus de forme anormale.

Lors des stades les plus graves la vision peut être altérée jusqu’à conduire à la cécité, souvent unilatérale.

L’AOC n’est pas une maladie à développement progressif comme peut l’être l’APR, l’Hypoplasie de la Choroïde et le Colobome étant congénitaux (présents dès la naissance) et se développant en même temps que l’oeil lui même. Cela signifie donc que bien souvent le chien atteint, de par l’expression précoce de la maladie, sera diagnostiqué jeune (grosso modo entre 2 mois et 2 ans).

- Mode de transmission :

L’AOC se transmet selon un mode autosomal récessif.

Autosomal signifie que le gène muté ne se situe pas sur les chromosomes sexuels, ce qui a pour conséquence qu’aussi bien les mâles que les femelles peuvent être atteints.

Récessif signifie que pour qu’un chien soit atteint, il doit avoir 2 copies du gène "malade" pour exprimer l’affection. Chaque copie ayant été transmise par un de ses parents, qui eux mêmes peuvent être soit atteints (donc 2 gènes "malades"), soit porteurs sains (1 seul gène "malade").

Un chien sain est donc qualifié d’Homozygote normal (aucun gène muté présent), un chien porteur sain est Hétérozygote, et un chien atteint est Homozygote atteint.

Le gène responsable de la maladie a d’ailleurs été identifié et se situe sur le chromosome N° 37, et ce quelque soit la race.

Voici le tableau récapitulatif des combinaisons et résultats possibles selon le statut des reproducteurs :

Sain Porteur Atteint
Sain 100% sains 50% porteurs 50% sains 100% porteurs sains
Porteur 50% porteurs 50% sains 25% sains 25% atteints 50% porteurs 50% porteurs 50% atteints
Atteint 100% porteurs 50% porteurs 50% atteints 100% atteints

Dans le paragraphe "Description et effets" il est question de variations dans l’intensité de l’expression de l’AOC. En effet, il semblerait qu’en plus du gène muté responsable de la maladie elle même, il existe d’autres facteurs influant sur le degré de l’atteinte.

Il n’y a pas à ce jour d’éléments probants qui démontreraient avec certitude une influence environnementale dans l’intensité de l’expression de la maladie. Ce qui est probable par contre, c’est que d’autres gènes en plus de celui causant la maladie influenceraient l’expression de ce dernier. L’état actuel des recherches ne permet pas encore de déterminer leur identité, leurs actions précises ni leur nombre.

- Moyens à disposition :

Comme pour l’APR et la Cataracte juvénile, le CFBA- invite les possesseurs et éleveurs d’Aussies à faire examiner leurs chiens par un vétérinaire Ophtalmo agréé SCC. Ces tests doivent être reconduits tous les ans, et tout chien atteint devrait naturellement être écarté de la reproduction.

Une autre possibilité est actuellement disponible : le test génétique par prélèvement sanguin. Ce test, proposé par le Laboratoire américain OPTIGEN- permet de déterminer avec certitude si un chien est sain, porteur sain ou atteint. Cela permet d’effectuer des accouplements plus "sûrs" et d’éviter de produire des chiots qui développeront l’affection.

 

source chien Oline

l'APR


L’Atrophie Progressive de la Rétine (APR)

 

Ou plus exactement Prcd-PRA (pour Progressive Rod-Cone Degeneration-Progessive Retinal Atrophy) pour les intimes...

Cette maladie touche diverses races de chiens, dont le Berger Australien.

- Les effets :

C’est une affection d’origine génétique qui provoque une dégénerescence progressive des cellules photoréceptrices de la rétine située dans la partie postérieure de l’oeil.

Les premières cellules atteintes par cette dégénerescence sont les cellules "bâtonnets" (=rod), qui tiennent un rôle essentiel dans l’acuité visuelle par faible luminosité. Leur altération provoque donc dans un premier temps ce que l’on appelle une "cécité nocturne". La constatation d’un tel dysfonctionnement nocturne de l’appareil oculaire doit donc faire penser à une APR et conduire à des examens cliniques plus poussés.

C’est ensuite au tour des cellules "cônes" (=cone) qui fonctionnent dans des conditions de luminosité normales d’être atteintes. S’ensuit donc logiquement dans de nombreux cas une complète cécité du chien atteint.

Il n’existe actuellement aucun traitement permettant de guérir un chien atteint de Prcd-PRA. La seule consolation que l’on puisse avoir est que, bien qu’invalidante, cette affection n’est pas douloureuse pour l’animal atteint. De plus, un chien privé du sens de la vue n’est pas pour autant incapable de poursuivre une vie familiale : ses autres sens tendront à s’aiguiser et lui permettront de prendre d’autres repères, si tant est que l’on prenne soin de ne pas le désorienter en modifiant brutalement son environnement.

- Le mode de transmission :

L’APR est une maladie héréditaire, qui se transmet selon un mode autosomal récessif.

Autosomal signifie que les gènes responsables de la maladie ne sont pas situés sur les chromosomes sexuels. Cela signifie donc que la maladie touche indifféremment les mâles et les femelles.

Récessif signifie que pour qu’un chien soit atteint (maladie exprimée), il faut qu’il possède 2 gènes de la maladie, chacun étant transmis par un des deux parents.

Il existe donc 3 statuts possibles pour un chien :

- sain : l’individu ne possède aucun gène permettant l’expression de la maladie, il est considéré comme sain, car il ne transmettra aucun gène "nocif" à sa descendance, et il n’exprimera jamais la maladie. Ce chien est dit "homozygote sain" pour le caractère concerné (possède 2 gènes sains sur 2).

- Porteur sain : l’individu concerné possède 1 gène de la maladie, qui comme elle est récessive ne s’exprimera pourtant jamais. L’animal concerné donnera donc toutes les apparences d’un chien sain, sans l’être pour autant, vu qu’il pourra transmettre statistiquement dans 1 cas sur 2 son gène "malade" à sa descendance. Un tel individu est dit "hétérozygote" pour le caractère concerné (possède 1 seul gène "malade" sur les 2).

- Atteint : l’individu possède donc les 2 gènes de la maladie, qui s’exprimera à un âge non prévisible (parfois tardif), et d’une intensité variable. Si un animal atteint reproduit, il transmettra inévitablement 1 gène "malade" à sa descendance. De tels individus devraient bien entendu être écartés de la reproduction pour tenter de limiter la transmission de la maladie. Le chien atteint est dit "homozygote atteint" pour le caractère concerné (possède 2 "mauvais" gènes sur 2 possibles).

De par ce mode de transmission que l’on pourrait qualifier de sournois, il est difficile d’éradiquer totalement les maladies héréditaires récessives. En effet, les porteurs sains qui ne développeront jamais l’affection n’en sont pas moins des transmetteurs potentiels d’un "mauvais" gène, qui selon les accouplements effectués pourra s’exprimer s’il se retrouve doublé.

Pour y voir plus clair, voici un tableau récapitulatif des combinaisons possibles et leurs résultats :

Sain Porteur Atteint
Sain 100% sains 50% porteurs 50% sains 100% porteurs sains
Porteur 50% porteurs 50% sains 25% sains 25% atteints 50% porteurs 50% porteurs 50% atteints
Atteint 100% porteurs 50% porteurs 50% atteints 100% atteints

- Moyens à disposition :

Aujourd’hui, l’unique façon de dépister un Berger australien de l’APR est de faire effectuer un test annuel par un vétérinaire spécialisé en ophtalmologie ou ECVO. (liste des vétérinaires agréés disponible sur le site du Club de Race )

Les résultats de ce test effectué à un instant T attestent qu’à la date du test, le chien est indemne ou affecté.

Malheureusement un résultat déclarant un Aussie indemne à une date déterminée ne signifie en rien qu’il ne déclarera pas la maladie ultérieurement ou qu’il n’est pas porteur... C’est donc simplement un état des lieux qui doit être fait selon la politique de prophylaxie mise en place par le club de race au minimum tous les ans pour limiter les dégâts potentiels...

On voit bien alors toute la difficulté que rencontrent les éleveurs sérieux qui souhaitent ne faire reproduire que des sujets qui ne produiront pas de chiots potentiellement malades.

Il existe néanmoins un espoir pour l’avenir. En effet, pour certaines races, a été mis en place un test génétique, permettant à coup sûr de déterminer le statut du chien (sain, porteur sain, atteint).

Ainsi, par simple prélèvement sanguin ou buccal, un laboratoire spécialisé peut analyser la présence ou non de la mutation spécifique du gène responsable de l’APR, et donc permettre à l’éleveur de poser un statut définitif sur son chien. Cela conduit donc à savoir avec certitude si un reproducteur potentiel est sain, porteur sain ou atteint, et permet ainsi soit de l’écarter définitivement de la reproduction (si atteint ou porteur), soit de choisir avec soin son partenaire (si porteur ou sain).

Ce test n’est actuellement pas disponible pour le Berger australien, mais l’espoir est de rigueur car les recherches continuent dans ce sens. Bientôt un outil de plus disponible pour aider à la sélection ? On ne peut que s’en réjouir pour l’avenir de la race.

Pour information, il existe 2 laboratoires à ma connaissance qui effectuent ces tests pour certaines races : OPTIGEN aux Etats-Unis, et ANTAGENE en France.

Important : :

 le laboratoire OPTIGEN vient de mettre au point un test génétique permettant de cataloguer un Berger australien en 3 catégories : sain, porteur sain et atteint par l’APR prcd. Il est donc désormais possible avec un simple frottis buccal de faire dépister génétiquement son aussie pour l’APR prcd. Le Laboratoire Antagène en France est le partenaire officiel d’Optigène aux Etats-Unis. Pour faire dépister génétiquement votre Berger australien, il vous suffit de prendre contact avec Antagène qui vous fournira le kit de prélèvement et la marche à suivre.

HSF4


La médecine génétique au service du bien-être animale avance à grands pas, tout comme la médecine vétérinaire. Le laboratoire Antagene vient de mettre au point un test de dépistage concernant une tare génétique pour laquelle le berger australien est prédisposé : la cataracte héréditaire. Ce test concerne en premier lieu les éleveurs, mais aussi les maîtres de bergers australiens qui souhaiteraient faire dépister leur compagnon. 


La cataracte se caractérise par une opacité du cristallin pouvant affecter un seul œil ou les deux yeux, et conduire à une cécité totale. Les cataractes héréditaires sont caractérisées par une atteinte des deux yeux, pas obligatoirement synchrone, la localisation des premières lésions détermine le type de cataracte.


Chez le Berger Australien, deux types majeurs de cataractes ont été observés. La première est juvénile et évolue rarement vers une détérioration de la vision (localisation sous-capsulaire postérieure). 


La seconde, plus sévère, peut affecter la vision (localisation proche du noyau). 


L’équipe du Dr Cathryn Mellersh (Animal Health Trust - AHT, Royaume-Uni) a mis en évidence une mutation dans le gène HSF4 et a mené une étude sur une population de 392 bergers australiens (Mellersh et al. 2009). Cette étude indique que 83 % des chiens ayant une cataracte bilatérale porte la mutation HSF4-A.


Les autres chiens atteints (17 %) développeraient une cataracte dont on ne connaît pas le déterminisme. La transmission de la mutation HSF4-A est autosomique et son expression est codominante : les hétérozygotes peuvent présenter une forme légère de cataracte, les homozygotes mutés développent majoritairement une forme qui peut affecter la vision. D’après l’étude de C. Mellersh, à l’âge de 5 ans, 93 % des bergers australiens homozygotes mutés et 46% des hétérozygotes ont développé une cataracte bilatérale. 


Environ 15 % des bergers australiens porteurs


A partir des données de l’AHT et du laboratoire Antagene, il est estimé qu’environ 15 % des bergers australiens seraient porteurs de la mutation. Le dépistage de ces chiens en Europe permettra d’affiner cette fréquence. 


Le test génétique HSF4-A permet de prévoir une surveillance précoce des animaux porteurs et d’adapter les croisements afin d’éviter la propagation de l’anomalie génétique au sein de la race. Le laboratoire Antagene recommande de faire suivre les bergers australiens porteurs de la mutation (hétérozygote, homozygote muté) par un vétérinaire ophtalmologiste. 


Source : laboratoire Antagene

CMR1

 


La rétinopathie multifocale (CMR pour canine multifocal retinopathy) se caractérise par un décollement de la rétine en plusieurs endroits (multifocal). Des lésions grisâtres rondes ou ovales correspondent aux décollements focaux de la rétine. Chez l’homme, une maladie homologue est dénommée dystrophie vittelliforme ou maladie de Best.


La maladie se développe chez les jeunes chiens à partir de 4 mois, progresse lentement, peut guérir puis réapparaître. Les lésions peuvent disparaître mais également laisser des cicatrices irréversibles sur la rétine. Dans les formes les moins graves, le chien ne semble pas présenter de problèmes de vision malgré l’apparence anormale de la rétine. Dans les formes les plus graves, les lésions peuvent conduire


à la cécité.


Depuis 2008, le laboratoire français Antagène commercialise un test de dépistage génétique permettant de connaître le portage des gènes malades (mutés).


Ces gènes sont récessifs, cela signifie que les animaux atteints de cette maladie possèdent obligatoirement deux copies de gènes mutés (homozygotes mutés).


Les autres sont soit porteurs d’un seul gène muté ou soit non porteurs. Dans ces deux cas de figure, ils ne développeront jamais la maladie.


Afin de ne pas produire de chiens malades, tout éleveur sérieux doit dépister ses reproducteurs et faire ses mariages en fonction des résultats de ces tests. Ces tests sont onéreux mais nécessaires afin de garantir la bonne santé de la race.


 

CD


Le test "de CD" OptiGen est un ADN le test basé qui fournit une méthode d'explicitement identifier la Maladie de Dégénérescence de Cône (le CD) dans l'Indicateur À poil ras allemand, l'habitant de l'Alaska Malamute et des Bergers australiens. Bien que la maladie soit rare en général, dans une ligne affectée il est important de contrôler la fréquence de gène afin d'empêcher des chiots de production affectés avec la maladie. Les mutations causant le CD dans ces deux races arrivent dans le même gène (CNGB3), mais sont des mutations distinctes et ont surgi séparément.

La maladie de CD cause la nyctalopie en raison de la dégénérescence "des cônes" rétiniens - des cellules en forme de cône dans la rétine qui répondent principalement à la lumière du jour brillante. Le CD peut être diagnostiqué au début de semaines de la vie du chien affecté. Entre 8 et 12 semaines d'âge, quand le développement rétinien est normalement complété(achevé) dans des chiens, les signes(panneaux) de problèmes de vision sont considérables. Les chiots deviennent nyctalopes et sont photophobiques - la signification de cette exposition à la lumière brillante est irritante ou même douloureuse. Le chiot évitera des zones(domaines) vivement allumées. La vision dans la lumière terne reste normale. La rétine du chien affecté apparaît initialement normale quand examiné par un ophtalmologue et initialement l'ERG (electroretinogram) l'enregistrement est normal. Cependant, la réponse d'ERG des cônes dégénérants baisse avec l'âge et est non-enregistrable dans le chien Affecté de CD mûr.

Par contraste avec PRA (l'Atrophie Rétinienne Progressive), qui est le type plus commun de maladie rétinienne dans beaucoup de races de chien, CD n'affecte pas de vision nocturne. Un deuxième type de cellule dans la rétine, "les tiges" - les cellules en forme de tige qui répondent principalement pour atténuer la lumière et détecter le mouvement - n'est pas impliqué dans cette maladie. Le chien Affecté de CD garde la capacité de voir la nuit ou dans des zones(domaines) vaguement allumées.

Tout aussi PRA est la version canine d'homme RP (retinitis pigmentosa), le CD est la version canine de la maladie génétique humaine achromatopsia - le daltonisme total et la nyctalopie. Un autre nom pour la nyctalopie est "hemerolopia". La recherche de thérapie génique passionnante a visé à corriger cette condition (dans des chiens comme un modèle pour la maladie humaine) est currenty étant conduit à l'Université de la Pennsylvanie.

L'identification fiable des chiens qui ne portent pas de gènes de maladie est la clé(touche) à la direction autosomal des maladies récessives. Le test de CD OptiGen permet l'identification précise de 100 % de ces chiens. Appelé "dégagent(approuvent) génétiquement," "les nontransporteurs" ou, plus formellement, "des normales homozygous," de tels chiens ne peuvent passer seulement le gène normal sur à tous leurs chiots - ce qui signifie qu'aucun de leurs chiots peuvent jamais être affectés avec le CD. Ces chiens "clairs" peuvent être élevés à n'importe quel camarade(second), même à un Indicateur À poil ras allemand Affecté de CD, qui peut être une perspective d'élevage(de reproduction) désirable pour d'autres raisons.